Les journées villes morte ont un impact négatif sur les activités de la Réponse et la lutte contre la maladie à virus Ebola. Les agents de terrain et les relais communautaires ont en effet des difficultés à effectuer le suivi des cas suspects et d’autres malades dans différents quartiers du fait des manifestations organisées et de la raréfaction des moyens de transports collectifs, ce jour-là.