#Beni : Les structures de santé privées appelées à être promptes dans les alertes

Le médecin chef de zone de santé de Beni le Dr Michelle Tosalisana et les responsables des structures sanitaires privées ont eu un échange ce lundi 20 janvier sur certaines failles à améliorer. Il s’agit notamment du transfert des patients dès qu’ils présentent les premiers signes d’#Ebola. Cela a été reconnu par l’assemblée qui a promis d’améliorer de son système de travail.

« Nous savons que ce sont les structures privées qui sont majoritaires et elles entretiennent les malades pendant longtemps sans alerter. C’est ce qui fait qu’il y a résurgence des cas alors qu’on aurait pu arrêter la propagation de l’épidémie », a souligné le Dr Michel Tosalisana évoquant les causes de la réapparition de l’épidémie à #Beni.

Le médecin chef de zone a également invité toutes ces structures à adopter un nouveau comportement ; celui de suivre le processus qu’il faut pour empêcher le développement des cas de malades d’#Ebola à #Beni. « C’est la raison de cette rencontre d’échange avec tous les concernées », a-t-Il ajouté

Le responsable des tradipraticiens et structure sanitaire a expliqué à son tour pourquoi les alertes trainent. « C’est à cause de la confusion des cas qui sont similaires aux symptômes d’#Ebola qu’on alerte avec retard », a-t-il dit promettant une amélioration. 

 La coordination a encouragé ces structures privées à participer activement à la réponse pour mettre fin à l’épidémie.